Il étudie aux Beaux-arts de Lyon de 1970 à 1975, et fréquente l’atelier de Fusaro.
Ancré à Lyon, la géographie et le climat ont influencé la présence du blanc dans ses œuvres, mais ses couleurs sont dictées par ses origines andalouses.
Grand voyageur (Etats-Unis, Inde, Chine, Népal, Tibet, Brésil, Amazonie et l’Espagne ...) il puise dans les paysages et l’effervescence de ses rencontres une multitude d’images animées toutes en transparences : tulles, voiles, eau, fumées ... participent à la sensualité de sa peinture ; il est guidé dans son exécution par sa passion des couleurs et du mouvement.
Ses œuvres peuplées d’une multitude de personnages, des scènes plus ou moins oniriques, plus ou moins féeriques, mais aussi résolument modernes, évoquent la fluidité du temps, et Pierre Caro les fige dans l’instant. Le dessin est la base de son travail, il saisit les attitudes et le mouvement, le détail qui raconte l’histoire de chaque personnage, individu perdu dans la foule.
Grand voyageur (Etats-Unis, Inde, Chine, Népal, Tibet, Brésil, Amazonie et l’Espagne ...) il puise dans les paysages et l’effervescence de ses rencontres une multitude d’images animées toutes en transparences : tulles, voiles, eau, fumées ... participent à la sensualité de sa peinture ; il est guidé dans son exécution par sa passion des couleurs et du mouvement.
Ses œuvres peuplées d’une multitude de personnages, des scènes plus ou moins oniriques, plus ou moins féeriques, mais aussi résolument modernes, évoquent la fluidité du temps, et Pierre Caro les fige dans l’instant. Le dessin est la base de son travail, il saisit les attitudes et le mouvement, le détail qui raconte l’histoire de chaque personnage, individu perdu dans la foule.